Chou Chou Ténèbres
Société Protectrice de Petites Idées
tarif réduit : 8 €
tarif solidaire : 6 € Galerie d'exposition - La Passerelle 45 min. Mobilité réduite
Écriture, jeu, musique, vidéos, scénographie et lumières : Federico Robledo
Regards extérieurs : Chloé Derrouaz, Gus Sauzay, Floriane Mésenge
Soutien créatif : Aleth Depeyre, Aude Martos et Nanda Suc
Oreille extérieure : Mehdi Azema
Federico Robledo naît en Argentine en 1984. Jusqu'en 1996, il regarde la télévision allongé sur le côté et il boit du Coca-Cola tiède les dimanches avant la messe du matin. À partir de 2003 il tente de devenir peintre, athée et circassien. Il fait des écoles des beaux-arts et de cirque. Il fait de la danse, de la vidéo, de l'animation, de la musique et il essaye de passer du temps sur scène, parce qu'il trouve du sens quand il travaille sur scène.
SPPI
La Société Protectrice de Petites Idées est une association guingampaise qui a pour but de "se torturer le cerveau pour être honnête avec ses entrailles et tout faire avec le cœur". À partir de cette maxime, ils créent chaque spectacle avec un joyeux mélange de "fantasmes de superproduction et passion pour le "faire soi-même".
Coproduction : La Passerelle - Scène nationale de Saint-Brieuc
Aide à la résidence : L'Avant Scène, Cognac / Les Petites Formes, Moncontour / Bain Public, Saint Nazaire / Château de Monthelon, Montréal / Au bout du plongeoir, Thorigné-Fouillard / Théâtre Prospero, Québec / Théâtre Périscope, Montréal.
Soutiens : Escouto Can Plaou, Camlez / Le Lieu, Guingamp / Bleu Pluriel, Trégueux / Les Ateliers du Vent, Rennes.
Aide au projet : Agglomération de Saint-Brieuc, Consulat de Québec, Institut Français, OFQJ.
Subventions : Conseil départemental de Côtes-d'Armor, Région Bretagne.
Chargée de production : Hélène Michel
Administration : Emmanuel Nonet
Crédit photo : Sébastien Armengol
En écho
Ultra moderne solitude
Cave ? Garage ? Abri antiatomique ? Chou Chou Ténèbres brouille les pistes d’entrée de jeu. Un mur d’écrans de téléviseurs nous fait face, éclairant l’obscurité. Seul dans les ténèbres, un drôle d’olibrius s’agite sur scène, en slip, doudoune et baskets pailletées. Il s’amuse. Ou plutôt non, il crée. Il crée pour mesurer le temps, pour ne pas crever, pour résister et tenir la tête hors de l’eau… Dans ce seul-en-scène aussi farfelu que désenchanté, Federico Robledo raconte le refus de l’appartenance à une espèce destructrice, l’insupportable solitude et, par-là, la difficulté à être au monde.
Spectacle conseillé à partir de 12 ans.
