Brother
Marco da Silva Ferreira
tarif réduit : 9 €
tarif solidaire : 6 € Théâtre Louis Guilloux 1H00
Direction artistique et chorégraphie : Marco da Silva Ferreira
Assistante : Mara Andrade
Avec : Anaísa Lopes, Cristina Planas Leitão, Duarte Valadares, Filipe Caldeira, Marco da Silva Ferreira, Max Makowski, Vitor Fontes
Direction technique et lumières : Wilma Moutinho
Musique : Rui Lima & Sérgio Martins
Membre actif de la jeune scène portugaise, Marco da Silva Ferreira a travaillé avec des artistes tels qu’André Mesquita, Hofesh Schechter, Sylvia Rijmer, Tiago Guedes, Hugo Pontes, avant de se lancer lui-même dans l’écriture chorégraphique. "Hu(r)mano", sixième œuvre de son parcours, lui vaut une nomination au titre de meilleur jeune créateur portugais en 2015. Il mélange la danse urbaine et la danse contemporaine pour créer une mise en scène où quatre corps sont mis en présence, forts et confiants en leur qualité intrinsèque d’individus. Se construit peu à peu, par l’exacerbation des postures et des regards, dans la boucle répétitive d’une musique dont on ne sait si elle est industrielle ou tribale, une relation collective d’une beauté surprenante.
Production : Pensamento Avulso - Associação de Artes Performativas
Coproduction : São Luiz Teatro Municipal ; Teatro Municipal do Porto ; Centre Chorégraphique National de Rillieux-la-Pape / Direction Yuval Pick
Résidences : Centro Cultural Vila Flor ; O Espaço do Tempo; Quinta do Rio
Soutien à l’international : República Portuguesa - Cultura I DGArtes – Direção-Geral das Artes
Le chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira présente avec sept danseurs une danse tribale et urbaine. Dans « Brother », il engage une large réflexion sur les procédés d’héritage, de mémoire, de codes, d’apprentissage et de transmission. Il montre notamment à quel point une grande partie de la culture dite urbaine vient des cultures africaines et se concentre à tisser des liens entre ces différents styles de danse et leurs états d’esprits. Pour ce faire, il pioche dans tout, aussi bien dans la culture urbaine que dans la danse classique, aussi bien dans les fêtes technos que dans le dancehall. Celui qui fut danseur chez Hofesh Shechter a gardé de l’israélien la physicalité et la tribalité.